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RMG AURA – CARRIERE MOULIN

RMG exploite une carrière de granit située à proximité de Monistrol sur Loire, disposant d’une réserve foncière de 5 millions de tonnes. Notre autorisation d’exploitation court jusqu’en 2048. L’exploitation de la carrière de granit remonte aux années 1850 avec la fabrication de pavés utilisés à Saint Etienne et Lyon jusqu’en 1930 environ. La carrière était donc arrêtée depuis plus de 40 ans quand Jean MOULIN en reprend l’exploitation en 1976. Il obtient sa première autorisation préfectorale en 1977 sur environ 9 hectares appartenant à la commune des Villettes. L’exploitation actuelle est autorisée jusqu’en 2048 et porte sur environ 20 hectares.

L’autorisation actuelle permet d’extraire jusqu’à 300 000 tonnes de granulats par an, utilisés essentiellement dans la fabrication des enrobés, des bétons (centrales ou usines de préfabrication) ainsi que pour les sous-couches de préparation de plateformes. L’entreprise travaille également au maintien du patrimoine en exploitant, près du Puy en Velay, une carrière de phonolite, la Lauzière du Pertuis. La pierre de taille, composée soit de granit, soit de la phonolite, est utilisée pour fournir des pierres pour du dallage, murs, ou piles, ou toute autre demande. L’entreprise a également développé une activité de conception, fabrication et pose de gabions. L’utilisation de différents types de cages et de pierres permet tout type de forme et de finition, à l’image du nom « MOULIN » en « gabions majuscules » à l’entrée du site !

Dans le cadre de la recherche de performance d’exploitation ainsi que d’une réelle considération de sa responsabilité sociétale, l’entreprise a fait le choix de la création d’un tunnel entre la carrière et le stockage de granulats afin d’éviter le transfert des matériaux par les voies publiques. Le tunnel a été creusé en 2005, il a fallu environ 4 mois pour percer les 90 m de longueur. Ce tunnel mesure environ 8 m de large à la base et environ 6 m de haut. Il a permis de relier la carrière à la zone de stockage des matériaux, sans passer par le village de Trevas, soit la suppression de 24 000 camions par an.